samedi 21 septembre 2013

Les 10 métiers qui rendent le plus heureux

Aider l’autre semble être la principale source de bonheur au travail, si l’on en croit un classement publié par le magazine Forbes. Fait notable : la quasi absence des métiers de la finance parmi ce classement.

Porter secours, soulager les âmes et les corps en détresse… Aider l'autre est au cœur des trois métiers qui arrivent en tête de ce classement : homme d’église, pompier et physiothérapeute. Ce top 10 a été établi à partir d’enquêtes réalisées par la National Organization for Research de l'université de Chicago, aux États-Unis. Certains peuvent faire rêver, d’autres peuvent surprendre…

Les 10 métiers qui procurent le plus de bonheur

 

1er) Les hommes d’Église : l’amour de l’autre, l’écoute et l’entraide semblent remplir de joie ces serviteurs de Dieu, qui arrivent en tête de ce classement.

2e) Les pompiers : un sondage révèlerait que plus de 80 % des soldats du feu sont heureux dans leur métier. Comme les hommes d’église, il semblerait que ce soit l’assistance et la protection d’autrui qui apportent du bonheur à ces professionnels du sauvetage.

3e) Les physiothérapeutes : ces professionnels de la rééducation trouvent quant à eux leur bonheur dans la deuxième vie qu’ils contribuent à donner à des personnes blessées ou handicapées. C’est donc encore un métier d’assistance à l’autre qui prend la troisième place de ce classement. L’individualisme serait-il donc source de tristesse au travail…

4e) Les écrivains : même si beaucoup d’entres eux ont un statut précaire, ces professionnels de la plume trouvent leur satisfaction dans l’autonomie qu’ils ont. Les éditeurs ne semblent donc pas être les pires employeurs du moment.

5e et 6e) Les professeurs spécialisés et les enseignants généralistes : enseigner, aider des jeunes en difficultés, le plaisir de la transmission du savoir semble être encore source d’un grand épanouissement personnel.

7e) Les peintres et les sculpteurs : l’art, l’expression même d’une identité, la possibilité de laisser une trace de son passage sur terre. Une passion qui stimule bon nombre de professionnels même si beaucoup vivent dans des conditions précaires. C’est ce que l’on appelle l’art pour l’art ou l’amour de l’art.

8e) Les psychologues et psychanalystes : Il semblerait que ces professionnels du psychique trouvent leur bonheur en écoutant et en tentant de résoudre les problèmes de leurs patients. Une thérapie peut-être, que le magazine Forbes résume non sans humour : "les psychologues ne sont peut-être pas en mesure de résoudre les problèmes des autres, mais il semble qu'ils ont réussi à résoudre les leurs."

9e) Les agents financiers de vente de services : ce métier d’argent n’arrive qu’en 9e place de ce classement. L’argent ne ferait-il plus tant le bonheur que cela ? Pas sûr. Selon Forbes, ces professionnels, qui proposent des prêts et autres opérations d’endettement, sont payés 90 000 dollars, soit 68 000 euros, pour 40 heures de travail derrière un bureau.

10e) Les ingénieurs de chantier : pour le magazine Forbes, la raison du succès de ce métier est que ces professionnels ressemblent à de grands enfants qui jouent au Lego… Drôle de vision du métier d’ingénieur de chantier qui nécessite de grandes qualités pour gérer l’ensemble d’un chantier : matériaux, planning, budget, personnel… ainsi que la bonne marche technique et financière, jusqu’à la livraison finale.


Avant ce classement, Forbes a établi celui des métiers qui rendent le moins heureux. La majorité de ces professions étaient des activités de bureau très bien payées. Soit l’exact inverse des métiers qui rendent le plus heureux si l’on en croit  ce nouveau classement. Il semblerait donc que la maxime "l’argent ne fait pas le bonheur" soit toujours aussi vraie.

Angel Herrero Lucas, OrientationsMis en ligne le Lundi 12 Mars 2012

samedi 14 septembre 2013

Comment les choses évoluent

A ceux qui pensent qu'un droit est acquis a vie, 
voilà comment une jeune femme pouvait se balader 
à Kaboul dans les années 70



Enfance...pour se construire


mercredi 4 septembre 2013

Les armes chimiques utilisées près de Damas proviendraient de l’Arabie saoudite



Les armes chimiques utilisées près de Damas proviendraient de l’Arabie saoudite

Réseau Voltaire
Des Contras syriens ont confirmé à une correspondante de l’agence états-unienne Associated Press (AP) leur propre responsabilité dans l’incident à l’arme chimique rapporté le 21 août 2013 aux environs de Damas. Selon ces « rebelles », il se serait agi d’un « accident » dû à une mauvaise manipulation, par eux-mêmes, des armes chimiques qui leur avaient été fournies par l’Arabie saoudite.
Des « rebelles » syriens de la Ghouta, la région agricole de Damas, ont avoué à la journaliste états-unienne Dale Gavlak qu’ils étaient eux-mêmes responsables de l’incident chimique du 21 août, le même que les Etats-Unis et la France invoquent maintenant pour accuser le régime syrien d’avoir eu recours à l’arme chimique.
Les Contras ont expliqué à la journaliste états-unienne, qui menait sa propre enquête sur place, qu’il s’est agi en fait d’un « accident » survenu à cause de la mauvaise manipulation par eux-mêmes des armes chimiques fournies par l’Arabie saoudite [1].
Les « rebelles » ont également déclaré a Dale Gavlak qu’ils n’avaient jamais été formés au maniement des armes chimiques et qu’ils ignoraient même qu’ils étaient en possession de ce type d’armement.
Selon les témoignages recueillis par la journaliste états-unienne, ces armes chimiques étaient destinées au Front al-Nousra, classé par le gouvernement des Etats-Unis comme organisation terroriste en raison de son allégeance à Al-Qaeda.
Aussi bien les « rebelles » que leurs familles et la population de la Ghouta ont accusé le prince saoudien Bandar ben Sultan, le patron des services de renseignement de
l’Arabie saoudite, d’être le fournisseur des armes chimiques envoyées au Front alNousra.
[1] « EXCLUSIVE : Syriens In Ghouta Claim Saudi-Supplied Rebels Behind Chemical Attack », par Dale Gavlak et Yahya Ababneh, MinPressNews.com, 29 août 2013.