Au Burkina Faso,
"d’aucuns pensent qu’une poignée de citoyens détient la majeure partie des
richesses, face à une population majoritairement pauvre.
Appartient également à ce monde opprimé et démuni, l’immense foule
des pauvres, incapables de se nourrir, de se soigner ou d’accéder à une
formation adéquate pour préparer leur avenir….
Nombreux sont les chômeurs, les
diplômés sans travail, les prisonniers qui croupissent dans les maisons
d’arrêt sans jugement, nombreux sont les victimes d’injustice, des crimes de
sang ou des crimes économiques…
"Il est préférable de prévenir les
troubles sociaux et les guerres que de les provoquer et d’essayer de les
arrêter après qu’elles ont éclaté."
Extrait de l'homélie, pour la messe de
Noël 2013, de l’archevêque de Ouagadougou, Monseigneur Philippe Ouédraogo.
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