Et pourtant ce sont les paroles que tous les catholiques pratiquants ont entendu ce matin dans la deuxième lecture de la célébration eucharistique...
Mon Dieu, ouvre mes oreilles pour que j'entende!
De la lettre de Saint Jacques...
"Eh bien, maintenant, les riches !
Pleurez, hurlez sur les malheurs qui vont vous arriver.
Votre richesse est pourrie, vos vêtements sont rongés par les vers.
Votre or et votre argent sont rouillés, et leur rouille témoignera contre vous : elle dévorera vos chairs ;
c'est un feu que vous avez thésaurisé dans les derniers jours !
Voyez : le salaire dont vous avez frustré les ouvriers qui ont fauché vos champs, crie, et les clameurs des moissonneurs sont parvenues aux oreilles du Seigneur des Armées.
Vous avez vécu sur terre dans la mollesse et le luxe, vous vous êtes repus au jour du carnage.
Vous avez condamné, vous avez tué le juste : il ne vous résiste pas...."
(1° octobre 2006)
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